Critique film
Publié le 04/04/2017 à 16:29 par Ciné Vor
Bonjour Tristesse

8,5 /10
Depuis son retour à Paris après des grandes vacances passées sur la Côte d'Azur, Cécile a perdu sa joie de vivre et son entrain habituels. Cet été-là, Cécile était heureuse, entourée de Raymond, ce père coureur de jupons mais si affectueux, d'Elsa, sa « belle-mère » du moment, et de Philippe, le séduisant voisin. Mais l'arrivée surprise d'Anne, une ancienne amie de la famille, va bouleverser la quiétude de la maisonnée...
Voici une superbe restauration du film d'Otto Preminger, "Bonjour Tristesse", est l'adaptation d'un des romans de roman de Françoise Sagan, portée par la sublime Jean Seberg ("A Bout de Souffle").
Esthétiquement, le film frappe à la fois par ses décors naturels de la côte d'Azur, à la fois par ses costumes et tenues affriolantes, aux couleurs vives. Mais la photographie des plus somptueuse et la mise en scène ne sont pas en reste, elles nous transportent à travers une intrigue piquante, basculant du noir et blanc à la couleur, parmi les fondations d'un mur de souvenirs et le moment présent de l’héroïne principale.
L'éclat et le talent des comédiens David Niven ("Les Canons de Navarone") et Geoffrey Horne ("Le Pont de la Rivière Kwai"), s'associent aux charmes et à la sensualité des comédiennes : Jean Seberg, Deborah Kerr ("Tant qu'il y Aura des Hommes") et Mylène Demongeot ("Fantomas"), dessinant une forme d'émerveillement et certifiant une des œuvres phare du cinéaste.
À la fois léger et ambitieux, le film reste près de soixante ans après sa sortie, une merveille du cinéma hollywoodien, ravivant une époque indolente, festive et amoureuse.
Quelques scènes sont devenues légion dans la mémoire des spectateurs cinéphiles, sa finale en fait sans nul doute partie, mais également l'une des scènes d'ouverture, où la chanteuse Juliette Greco apparaît dans son propre rôle, en interprétant le titre "Bonjour Tristesse" avec des paroles anglaises et un refrain en français d'Arthur Laurents (" West Side Story") sur une musique de Georges Auric ("Vacances Romaines").
Personnellement, j'ai su apprécier ce film, pour sa limpidité moderne et son classicisme d'antan. L'œuvre de Preminger, demeure un drame éclatant, drôle et affligeant.
Esthétiquement, le film frappe à la fois par ses décors naturels de la côte d'Azur, à la fois par ses costumes et tenues affriolantes, aux couleurs vives. Mais la photographie des plus somptueuse et la mise en scène ne sont pas en reste, elles nous transportent à travers une intrigue piquante, basculant du noir et blanc à la couleur, parmi les fondations d'un mur de souvenirs et le moment présent de l’héroïne principale.
L'éclat et le talent des comédiens David Niven ("Les Canons de Navarone") et Geoffrey Horne ("Le Pont de la Rivière Kwai"), s'associent aux charmes et à la sensualité des comédiennes : Jean Seberg, Deborah Kerr ("Tant qu'il y Aura des Hommes") et Mylène Demongeot ("Fantomas"), dessinant une forme d'émerveillement et certifiant une des œuvres phare du cinéaste.
À la fois léger et ambitieux, le film reste près de soixante ans après sa sortie, une merveille du cinéma hollywoodien, ravivant une époque indolente, festive et amoureuse.
Quelques scènes sont devenues légion dans la mémoire des spectateurs cinéphiles, sa finale en fait sans nul doute partie, mais également l'une des scènes d'ouverture, où la chanteuse Juliette Greco apparaît dans son propre rôle, en interprétant le titre "Bonjour Tristesse" avec des paroles anglaises et un refrain en français d'Arthur Laurents (" West Side Story") sur une musique de Georges Auric ("Vacances Romaines").
Personnellement, j'ai su apprécier ce film, pour sa limpidité moderne et son classicisme d'antan. L'œuvre de Preminger, demeure un drame éclatant, drôle et affligeant.



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