Critique film
Publié le 04/07/2016 à 10:02 par Ciné Vor
La Galaxie de la Terreur

7,5 /10
Le compte à rebours pour l'enfer commence ! Les membres de l'unité spatiale Quest se posent sur la planète Morghantus dans l'espoir de retrouver l'équipage de la navette Remus, qui ne donne plus signe de vie. Ils vont alors se retrouver face à leurs peurs les plus profondes...
Inédit jusqu’alors en DVD ce film de science-fiction oublié, catégorie nanar, est enfin accessible pour tous les passionnés de films fantastiques façon old school. Kitch mais fascinant, ce film qui reprend les mêmes codes que le « Alien » de Ridley Scott et mérite d’être découvert pour son ambiance angoissante, ses effets spéciaux à l’ancienne et sa mise en scène osée pour l’époque.
Doté de scènes trash, et d’une scène de viol entre un alien dégueulasse et une humaine très sexy, "La Galaxie de la Terreur", s’avère être une œuvre percutante et acidulée qui fait aujourd’hui autant sourire qu’il ravive la flamme des passionnés de séries B et Z à sensations.
Une joie additionnée par une équipe technique surprenante... Le producteur Roger Corman permet ici de lancer un bon nombre de carrières, on y retrouve ainsi, parmi les artisans du film sorti en 1981, l'acteur Bill Paxton ("Twister"...) chargé de la construction des décors, James Cameron ("Terminator"...) en réalisateur de seconde équipe et David DeCoteau ("Brotherhood"...) en assistant de production ou encore Tony Randel, le réalisateur de "Hellraiser 2" (1988), chargé de certains effets spéciaux. Le casting est tout aussi alléchant : Robert Englund ("Freddy"...), Erin Moran ("Happy Days"...) ou encore Sid Haig ("The Devil's Rejects"...).
Un nanar des années 80 sexy, croustillant et angoissant qui vaut le détour pour son authenticité et sa surprenante capacité à réveiller une nostalgie d’un style disparu.
Doté de scènes trash, et d’une scène de viol entre un alien dégueulasse et une humaine très sexy, "La Galaxie de la Terreur", s’avère être une œuvre percutante et acidulée qui fait aujourd’hui autant sourire qu’il ravive la flamme des passionnés de séries B et Z à sensations.
Une joie additionnée par une équipe technique surprenante... Le producteur Roger Corman permet ici de lancer un bon nombre de carrières, on y retrouve ainsi, parmi les artisans du film sorti en 1981, l'acteur Bill Paxton ("Twister"...) chargé de la construction des décors, James Cameron ("Terminator"...) en réalisateur de seconde équipe et David DeCoteau ("Brotherhood"...) en assistant de production ou encore Tony Randel, le réalisateur de "Hellraiser 2" (1988), chargé de certains effets spéciaux. Le casting est tout aussi alléchant : Robert Englund ("Freddy"...), Erin Moran ("Happy Days"...) ou encore Sid Haig ("The Devil's Rejects"...).
Un nanar des années 80 sexy, croustillant et angoissant qui vaut le détour pour son authenticité et sa surprenante capacité à réveiller une nostalgie d’un style disparu.


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