Critique film
Publié le 18/08/2015 à 13:32 par Fred
N'Embrasse pas la Mariée

5 /10
Lorsque Brian, un photographe animalier, provoque la colère d'un parrain de la mafia croate, il se voit forcer d'épouser Masha, la fille du gangster, pour qu'elle obtienne sa carte verte. Mais une fois arrivé à Tahiti pour leur lune de miel, la séduisante jeune femme se fait kidnapper et son nouveau mari devra mettre tout en ½uvre pour la retrouver.
Rob Edden ("Vendredi 13, l'ultime retour") réalise une comédie romantique américaine avec "N'Embrasse pas la Mariée" qui arrive directement en DVD via l’éditeur Factoris Film.
De manière assez classique, le scénario va mettre en scène deux personnages qui à première vue n’ont rien en commun dans des aventures plus ou moins rocambolesques. Le destin fera le reste et va rapprocher les deux âmes s½urs.
Suite à un accident avec le chat de la femme d’un mafieux croate, Dave Annable va devoir épouser Masha, la fille d’un mafieux croate, pour qu’elle obtienne la carte verte. Afin de rendre crédible le mariage aux yeux des agents de l’immigration, le père de la mariée va leur offrir un voyage de noce dans l’archipel de marquises. Mais leur idylle dans ce lieu paradisiaque va tourner court, Masha se fait enlever et sera libérer contre le versement d’une rançon de dix millions de dollars. Bien décidé à la sauver, Bryan (Dave Annable) va partir à sa recherche avec l’aide des autochtones.
Rob Edden se charge non seulement de la réalisation mais également du scénario et l'on peut pas dire que son film va révolutionner le genre. Les péripéties sont convenues et manquent de rythme. Les mésaventures du couple ainsi que le dénouement ne vont pas surprendre le spectateur. L'interprétation du couple par Dave Annable et Katharine McPhee peine à convaincre tant le jeu des acteurs est limité.
La pléthore de second rôle prend le dessus et sont beaucoup plus intéressant a voir évoluer. Entre le cabotinage sans limite du pilote local (Rob Schneider), le porte-flingue légèrement crétin (Vinnie Jones) et les bimbos un peu folles (Tia Carrere et Mena Suvari). Le cast d'acteurs expérimentés apportent de la matière à un film qui en manque cruellement.
Rob Edden livre avec "N'Embrasse pas la Mariée" une petite comédie qui manque d'ambition et d'originalité mais le spectateur peut tout de même passé un bon moment s'il se laisse embarqué par le jeu décalé de son casting de second rôles.
De manière assez classique, le scénario va mettre en scène deux personnages qui à première vue n’ont rien en commun dans des aventures plus ou moins rocambolesques. Le destin fera le reste et va rapprocher les deux âmes s½urs.
Suite à un accident avec le chat de la femme d’un mafieux croate, Dave Annable va devoir épouser Masha, la fille d’un mafieux croate, pour qu’elle obtienne la carte verte. Afin de rendre crédible le mariage aux yeux des agents de l’immigration, le père de la mariée va leur offrir un voyage de noce dans l’archipel de marquises. Mais leur idylle dans ce lieu paradisiaque va tourner court, Masha se fait enlever et sera libérer contre le versement d’une rançon de dix millions de dollars. Bien décidé à la sauver, Bryan (Dave Annable) va partir à sa recherche avec l’aide des autochtones.
Rob Edden se charge non seulement de la réalisation mais également du scénario et l'on peut pas dire que son film va révolutionner le genre. Les péripéties sont convenues et manquent de rythme. Les mésaventures du couple ainsi que le dénouement ne vont pas surprendre le spectateur. L'interprétation du couple par Dave Annable et Katharine McPhee peine à convaincre tant le jeu des acteurs est limité.
La pléthore de second rôle prend le dessus et sont beaucoup plus intéressant a voir évoluer. Entre le cabotinage sans limite du pilote local (Rob Schneider), le porte-flingue légèrement crétin (Vinnie Jones) et les bimbos un peu folles (Tia Carrere et Mena Suvari). Le cast d'acteurs expérimentés apportent de la matière à un film qui en manque cruellement.
Rob Edden livre avec "N'Embrasse pas la Mariée" une petite comédie qui manque d'ambition et d'originalité mais le spectateur peut tout de même passé un bon moment s'il se laisse embarqué par le jeu décalé de son casting de second rôles.

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