Critique film
Publié le 27/07/2016 à 13:11 par Ciné Vor
Sweet Home

7 /10
Chaque année, en Espagne, il y a plus de 50 000 expulsions. 85 % sont réalisées pacifiquement. 13% par la force. Et 2%, en utilisant d’autres méthodes...
Le cinéma d’horreur espagnol semble avoir pris le pas sur le genre en Europe ces dernières années, les films se succèdent, et même s'ils n’ont pas toujours eu droit au succès qu’ils méritent, il faut bien le reconnaitre, ils sont plutôt efficace !
Première réalisation de Rafa Martinez pour un direct-to-video haletant, composé d’un casting inédit (Ingrid García Jonsson, Bruno Sevilla, Oriol Tarrida), ce "Sweet Home" intéressant, se déroule à travers un survival à huis clos.
Le film s’aligne dans la plus grande tradition du cinéma d’horreur ibérique, tel que : "Rec", "Malveillance" ou encore "Shrew’s Nest", apportant un scénario sobre, mais d’une noirceur absolu, se voulant terrifiant et sanglant. Avec son rythme soutenu et ses quelques sursauts, on se laisse aisément embarqué par l’histoire, et ce, malgré son manque d’originalité.
Bien filmé, "Sweet Home" ne montre aucunement les difficultés d’un budget restreint et prouve même qu’avec peu d’argent, on peut réussir une œuvre saisissante. Suspense et scènes d’angoisse, forment en soit le véritable succès d’un film de genre réussi, et s'il y a du sang et quelques effets spéciaux bien maîtrisés, alors le tour est jouer.
Pour conclure, je dirais simplement : qu'effectivement rien n’est très original, on revit un survival comme tant d’autres, que je situerais d’ailleurs entre les films "Dream Home" de HO Cheung-Pang et "Panic Room" de David Fincher en moins poussif.
Cependant, le résultat est positif, le film est assez court, mais son rythme nerveux et son statut d’effroi sont amplement dissuasifs, donc pour ma part le contrat est rempli !
Première réalisation de Rafa Martinez pour un direct-to-video haletant, composé d’un casting inédit (Ingrid García Jonsson, Bruno Sevilla, Oriol Tarrida), ce "Sweet Home" intéressant, se déroule à travers un survival à huis clos.
Le film s’aligne dans la plus grande tradition du cinéma d’horreur ibérique, tel que : "Rec", "Malveillance" ou encore "Shrew’s Nest", apportant un scénario sobre, mais d’une noirceur absolu, se voulant terrifiant et sanglant. Avec son rythme soutenu et ses quelques sursauts, on se laisse aisément embarqué par l’histoire, et ce, malgré son manque d’originalité.
Bien filmé, "Sweet Home" ne montre aucunement les difficultés d’un budget restreint et prouve même qu’avec peu d’argent, on peut réussir une œuvre saisissante. Suspense et scènes d’angoisse, forment en soit le véritable succès d’un film de genre réussi, et s'il y a du sang et quelques effets spéciaux bien maîtrisés, alors le tour est jouer.
Pour conclure, je dirais simplement : qu'effectivement rien n’est très original, on revit un survival comme tant d’autres, que je situerais d’ailleurs entre les films "Dream Home" de HO Cheung-Pang et "Panic Room" de David Fincher en moins poussif.
Cependant, le résultat est positif, le film est assez court, mais son rythme nerveux et son statut d’effroi sont amplement dissuasifs, donc pour ma part le contrat est rempli !



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