1956, dans le sud de la France. Un prêtre est assassiné et le mal se répand. La suite du grand succès planétaire renoue avec sœur Irène qui se retrouve une fois de plus face à Valak, la religieuse démoniaque.
Après un premier opus réalisé en 2018 par Corin Hardy qui a rencontré un vif succès au box office, le démon redoutable Valak est de retour dans "La Nonne : La Malédiction de Sainte Lucie" dont la réalisation a été confiée à Michael Chaves ("Conjuring 3 : Sous l'Emprise du Diable"...) avec Taissa Farmiga ("American Horror Story"...) de retour dans le rôle de Sœur Irene. Dans ce nouvel épisode, l'histoire se déroule dans le Sud de la France en 1956 où un prêtre est assassiné. Après sa mort, des évènements surnaturels ne cessent de se produire.
Alors que le premier film avait réussi, malgré ses nombreux défauts, à nous faire passer un bon moment grâce à sa mise en scène soignée, son atmosphère réussie et ses jumpscares simples mais efficaces, cette suite n'a malheureusement pas le même mérite, j'en ai peur... En effet, tout comme le premier volet, le scénario ne brille pas par son originalité et regorge d'incohérences mais en plus de cela les jumpscares peinent à convaincre car ils sont beaucoup trop prévisibles... Néanmoins, on notera tout de même la qualité des effets visuels et des décors, une ambiance sombre et inquiétante constante qui parvient à nous faire frissonner par moments et enfin un casting convaincant.
Pour ce qui est du casting, on retiendra les présences de Taissa Farmiga, Jonas Bloquet ("Les Fauves"...), Storm Reid ("Invisible Man"...), Anna Popplewell ("Le Monde de Narnia : Chapitre 1 - Le Lion, la Sorcière Blanche et l'Armoire Magique"...), Suzanne Bertish ("Le 13è Guerrier"...) et Léontine d'Oncieu ("Les Grands moyens"...).
En résumé, "La Nonne : La Malédiction de Sainte Lucie" est un film classique dans son genre beaucoup moins bien réussi que son prédécesseur. Néanmoins la qualité des effets visuels et l'ambiance sombre et inquiétante du métrage nous permet de passer un agréable moment.
