Critique film
Publié le 20/02/2024 à 15h25 par Grégory
Le Continent des Hommes Poissons
6 /10

1891, un navire négrier échoue dans la mer des Antilles. Les rescapés se font aussitôt attaquer par d’étranges créatures mi hommes mi poissons. Trois survivants parviennent néanmoins à se réfugier sur une île. Là, ils vont faire la connaissance de Rackham, un despote complètement fou, qui force un biologiste à créer une armée de mutants amphibies, dans le but de s’accaparer du trésor de l’Atlantide, immergé sous l’île.

Nouvelle mise en scène de Sergio Martino ("Casablanca Express"...) réalisé à la fin des années 70, "Le Continent des Hommes Poissons" est un pur nanar comme ce fut le cas pour de nombreuses petites productions fantastiques italiennes dans les années 70 qui met en vedette l'actrice Barbara Bach que vous avez sûrement reconnu pour avoir joué une "James Bond Girl" dans "L'espion qui m'aimait" avec Roger Moore.

Après avoir visionné le film, je dois dire que le long métrage de Mr Martino souffre d'un manque cruel de moyens et cela se voit clairement au niveau des effets spéciaux et particulièrement sur le design des créatures qui font vraiment très plastiques... Le scénario n'est pas là non plus pour rehausser le niveau avec une intrigue peu originale déjà vue maintes fois dans de nombreuses productions comme "L'Île du docteur Moreau". Mais, soyons clair, essayons de profiter de ce métrage tel qu'il est censé être, un pur nanar que les aficionados prendront plaisir à visionner avec un bon gros bol de pop corn.

Pour ce qui est du cast, on retiendra aussi les présences de Claudio Cassinelli ("La Montagne du Dieu cannibale"...), Richard Johnson ("A l'aube du cinquième jour"...), Mel Ferrer ("L'Avion de l'apocalypse"...), Cameron Mitchell ("Supersonic Man"...) et Joseph Cotten ("De la Terre à la Lune"...).

En résumé, "Le Continent des Hommes Poissons" est un pur nanar du genre. Le film manque cruellement de moyens et cela se ressent aux niveaux des effets spéciaux qui nous font plus sourire qu'autres choses. Le scénario n'est pas en reste et peine à nous convaincre.

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