Critique film
Publié le 12/12/2024 à 11:21 par Grégory
Winnie The Pooh : Blood and Honey 2
6,5 /10
Au cœur de la Forêt des Rêves Bleus, une rage destructrice grandit alors que Winnie l'Ourson, Porcinet, Maître Hibou et Tigrou voient leur foyer et leur vie menacés après que Jean-Christophe a révélé leur existence. Ne voulant plus vivre dans l'ombre, le groupe décide de mener le combat jusqu'à la ville d'Ashdown, là où vit Jean-Christophe, laissant derrière eux une trace sanglante de mort et de chaos.
Après le succès surprise du premier film qui avait eu "l'audace" d'utiliser l'univers si enfantin et innocent de Winnie l'Ourson pour le transformer en une bête sanguinaire assoiffée de vengeance dans un slasher peu original et aux moyens très limités, il était presque normal de voir apparaître une suite qui a bénéficié clairement d'un budget plus conséquent... Mais es-ce suffisant pour en faire un film plus efficace ? Réponse !... Possible...
Réalisé une fois de plus par le cinéaste britannique Rhys Frake-Waterfield, "Winnie The Pooh : Blood and Honey 2" nous replonge dans la Forêt des Rêves Bleus mais aussi dans la ville d'Ashdown où notre petit groupe, composé de Winnie l'Ourson, Porcinet, Maître Hibou et Tigrou, part explorer les alentours à la recherche de nouvelles victimes afin d'apaiser leurs soifs de vengeance... Constitué d'un scénario un peu plus dense et d'effets spéciaux et de maquillages bien plus convaincants que le premier opus, "Winnie The Pooh : Blood and Honey 2" est clairement bien meilleure que le premier volet sans forcément se démarquer des "slashers movie". L'histoire est certes plus travaillée mais son intrigue reste trop prévisible. Les scènes gores sont nombreuses et plutôt réussis dans l'ensemble et la mise en scène est pour le moins correcte.
Devant la caméra, on retiendra les présences de Scott Chambers ("Doctor Jekyll"...), Tallulah Evans ("The Watcher in the Woods"...), Ryan Oliva ("Ghost Stories"...), Alec Newman ("Dune"...), Nicola Wright ("Jack In The Box 2 : Le réveil du démon"...), Flynn Matthews ("Enfant 44"...), Joshua Osei ("Patient Zero"...) et Sam Barrett ("The Happy Prince"...).
En conclusion, "Winnie The Pooh : Blood and Honey 2" réussit à surpasser son prédécesseur grâce à un budget beaucoup plus important et une production plus soignée. Bien que le film offre une intrigue légèrement plus complexe et des effets spéciaux convaincants, il demeure prisonnier des conventions du "slasher movie". Pour les fans du genre, le nouveau long métrage de Rhys Frake-Waterfield peut néanmoins représenter un bon moment, sans vraiment marquer les esprits.
Réalisé une fois de plus par le cinéaste britannique Rhys Frake-Waterfield, "Winnie The Pooh : Blood and Honey 2" nous replonge dans la Forêt des Rêves Bleus mais aussi dans la ville d'Ashdown où notre petit groupe, composé de Winnie l'Ourson, Porcinet, Maître Hibou et Tigrou, part explorer les alentours à la recherche de nouvelles victimes afin d'apaiser leurs soifs de vengeance... Constitué d'un scénario un peu plus dense et d'effets spéciaux et de maquillages bien plus convaincants que le premier opus, "Winnie The Pooh : Blood and Honey 2" est clairement bien meilleure que le premier volet sans forcément se démarquer des "slashers movie". L'histoire est certes plus travaillée mais son intrigue reste trop prévisible. Les scènes gores sont nombreuses et plutôt réussis dans l'ensemble et la mise en scène est pour le moins correcte.
Devant la caméra, on retiendra les présences de Scott Chambers ("Doctor Jekyll"...), Tallulah Evans ("The Watcher in the Woods"...), Ryan Oliva ("Ghost Stories"...), Alec Newman ("Dune"...), Nicola Wright ("Jack In The Box 2 : Le réveil du démon"...), Flynn Matthews ("Enfant 44"...), Joshua Osei ("Patient Zero"...) et Sam Barrett ("The Happy Prince"...).
En conclusion, "Winnie The Pooh : Blood and Honey 2" réussit à surpasser son prédécesseur grâce à un budget beaucoup plus important et une production plus soignée. Bien que le film offre une intrigue légèrement plus complexe et des effets spéciaux convaincants, il demeure prisonnier des conventions du "slasher movie". Pour les fans du genre, le nouveau long métrage de Rhys Frake-Waterfield peut néanmoins représenter un bon moment, sans vraiment marquer les esprits.
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