Internée dans un hôpital psychiatrique depuis quatre ans, Nica Pierce est convaincue à tort d'avoir tué - à la place de Chucky - toute sa famille. Mais la terreur s'empare des lieux après une série d’événements terrifiants et mystérieux. La poupée tueuse au sourire diabolique n'est peut être pas si étrangère que cela à ces événements...
Après "La malédiction de Chucky" réalisé en 2013, la célèbre poupée diabolique est de retour pour un septième épisode aussi glaçant que les précédents. Toujours réalisé par Don Mancini (depuis le cinquième volet), ce nouvel épisode est assez plaisant à regarder et nous réserve de grands moments de suspense riche en scènes gores.
On se réjouit dès son apparition de retrouver l'une des plus célèbres poupées psychopathe du cinéma. Les effets spéciaux sont très réussis et la marionnette est bouleversante de réalisme.
Un effort particulier a également été apporté sur la mise en scène. Les effets de caméra donnent une touche originale au montage.
Côté scénario, Don Mancini n'apporte pas grand chose de nouveau à la saga mise à part cette prolifération de poupées vivantes. L'histoire s'étire un peu en longueur et souffre de quelques ralentissements. Le gros des scènes gores se concentrent vers le milieu du métrage pour arriver à son paroxysme vers la fin.
Les scènes d'horreur et de suspense sont assez crédibles et vous garantissent de bons moments.
Côté casting, on peut retrouver Fiona Dourif ("True Blood") et Jennifer Tilly ("30 Beats") issues du précédent volet mais aussi Allison Dawn Doiron ("Lost Girl"); Michael Therriault ("Reign"), Zak Santiago ("iZombie") et Elisabeth Rosen ("Warcraft : Le commencent").
Bref ce nouveau volet de la saga "Chucky" ne brille pas par son originalité mais reste plaisant à regarder grâce aux effets spéciaux très réussis des scènes gores mais aussi grâce au suspense qui plane durant les scènes d'horreurs.
Même si la fin reste un peu décevante, la saga a encore de beaux jours devant elle.
