Après une apocalypse nucléaire causée par l'Homme lors d'une troisième Guerre Mondiale, les 318 survivants recensés se réfugient dans des stations spatiales et parviennent à y vivre et à se reproduire, atteignant le nombre de 4000. Mais 97 ans plus tard, le vaisseau mère, l'Arche, est en piteux état. Une centaine de jeunes délinquants emprisonnés au fil des années pour des crimes ou des trahisons sont choisis comme cobayes par les autorités pour redescendre sur Terre et tester les chances de survie. Dès leur arrivée, ils découvrent un nouveau monde dangereux mais fascinant...
Cette sorte de "Lost" pour adolescents voit arriver un groupe de jeunes délinquants, condamnés pour des crimes plus ou moins grave, sur la Terre qui a subit les ravages de la troisième Guerre Mondiale et de ses armes nucléaires.
Bien qu'ils découvrent que la planète est viable, ce qui pourraient permettre aux survivants restés sur leur vaisseau, l'Arche, de survivre, ils se rendent rapidement compte qu'une partie de l'espèce humaine a survécu à l'apocalypse nucléaire sans quitter la planète et qu'ils ne sont pas prêt à partager la Terre.
Au niveau des personnages, on trouve une galerie plutôt classique, la fille du médecin du vaisseau qui évidement partage les connaissances de sa mère et devient ainsi médecin du camp, le fauteur de trouble, celui qui prend le contrôle grâce aux armes, la jolie fille sans défense, le fils du leader des survivants, etc.
Au niveau du casting, on trouve un mixe d'acteurs peu connus et d'habitués de séries TV, parmi lesquels Paige Turco ("Espions d'Etat"), Isaiah Washington ("Grey's Anatomy") ou Henry Ian Cusick ("Lost").
Bien qu'inspiré du roman pour adolescent de Kass Morgan, la série se contente d'en reprendre les bases mais prend ses libertés par la suite.
En résumé une première saison qui ne manque pas de charmes et de rebondissement pour les fans du genre post-apocalyptique et des groupes de survivants et qui nous offre une galerie de personnages dans l’ensemble plutôt attachants bien que ne sortant pas trop de l'ordinaire.
